La Banque : dossier historique par Philippe Guillaume 2

Par l'équipe Dargaud

La Banque : dossier historique par Philippe Guillaume 2


De la seconde Restauration à la chute de la monarchie de Juillet, c’est l’époque où la « haute banque » parisienne achève de se mettre en place. Revenu de l’enfer des geôles anglaises où l’avait abandonné sa sœur Charlotte après leur « coup de Bourse » raté, Christian de Saint-Hubert se fait une place parmi la vingtaine de maisons prestigieuses qui tiennent alors la finance française.

Si beaucoup de ces riches banquiers « sont de confession protestante ou israélite, et d’origine suisse ou allemande, parfois anglaise ou hollandaise, il y en a aussi de catholiques, venus souvent de province », souligne le regretté Alain Plessis, professeur émérite à l’université de Paris-X Nanterre dans son Histoire des banques en France.

La Banque tome 2 - 1815 / 1848 - En librairies le 12/09

Tous s’emploient à faire fructifier leur fortune personnelle, plaçant les capitaux que leur ont légués leurs parents ou qu’ils ont collectés auprès de puissantes relations dans les nouvelles activités générées par une économie en pleine révolution industrielle. Certaines de ces maisons feront preuve d’une étonnante longévité, à l’instar de celle créée par James de Rothschild qui, installé à Paris dès 1812, va rapidement devenir le plus puissant de ces banquiers. « Grâce à la solidarité qui l’unit à ses frères, à son travail forcené, aux relations privilégiées qu’il entretient dans les cercles dirigeants sans lier jamais son sort à aucune forme de gouvernement, à son sens particulier des affaires, poursuit Alain Plessis, il a su marcher avec son temps et édifier une maison qui surclasse toutes ses rivales. »

C’est ainsi qu’on le verra investir aux côtés des frères Pereire dans la toute nouvelle technologie qui va révolutionner le monde des transports en cette première moitié du xixe siècle : le chemin de fer.

Un milliard pour les émigrés


Comme tous les émigrés qui ont fui la Révolution française, Charlotte et Christian de Saint-Hubert ont été dépossédés de leur patrimoine. Leurs terres et domaines ont été confisqués, puis vendus comme biens nationaux. De retour en France, ils vont très logiquement chercher à les récupérer.

Soucieux de ne pas déclencher une nouvelle guerre civile, Louis XVIII s’est résolu à ne pas remettre en cause la cession des biens nationaux à des particuliers. La loi du 5 décembre 1814 s’est contentée de rendre aux émigrés les seuls biens encore aux mains de l’État. Au début de 1824, Louis XVIII envisage bien de « fermer les dernières plaies de la Révolution », annonçant ainsi à mots choisis, lors de l’ouverture solennelle de la session des Chambres, qu’il compte profiter d’une opération de conversion de la rente de 5 % à 3 % pour indemniser les émigrés. Défendu par le chef du gouvernement et ministre des Finances Joseph de Villèle, ce projet avorte devant l’opposition de la Chambre des pairs, pourtant appelée à la rescousse. Louis XVIII n’aura pas le temps de revenir à la charge puisqu’il meurt le 16 septembre 1824.

Parce qu’il souhaite ménager sa majorité parlementaire ultra, son frère, le très réactionnaire Charles X, qui lui succède, s’empresse de reprendre l’idée à son compte. Le 22 décembre 1824, le nouveau souverain annonce ainsi son projet d’indemnisation des émigrés dans le discours du trône qu’il prononce à l’occasion de l’ouverture de la session parlementaire. Ce projet répond à deux objectifs : indemniser les émigrés spoliés de leurs biens sous la Révolution française tout en rassurant  définitivement les acquéreurs, toujours inquiets d’une possible remise en cause de leur statut.

Ce faisant, Charles X va provoquer de vives réactions au sein de l’opinion publique, réveillant l’antagonisme entre partisans de la Révolution et défenseurs de l’émigration. Le texte, préparé par Joseph de Villèle, que le nouveau roi a maintenu en fonction après avoir favorisé sa nomination sous le règne précédent, prévoit que les émigrés percevront une indemnité équivalant à vingt fois le montant de leurs revenus de 1790 sous la forme d’une rente à 3 %. Évaluée dans un premier temps à 1 milliard, cette indemnisation sera ramenée en réalité à 650 millions de francs, mais les libéraux, opposés au texte, auront tôt fait de vilipender le « milliard des émigrés ». Le financement doit être assuré pour moitié par les plus-values escomptées des rentrées budgétaires, en particulier la taxe sur les transactions. L’autre moitié est mise à la charge de la caisse d’amortissement de la dette publique, notamment grâce la conversion du taux d’intérêt des rentes d’État existantes de 5 % à 4,5 % ou 3 % au choix des porteurs, mesure naturellement impopulaire auprès des épargnants. La définition du statut d’émigré est suffisamment large pour y inclure des personnes restées en France, mais dépossédées de leurs biens ou parentes d’un émigré décédé.

Au terme d’un débat enflammé, long et orageux, la loi, légèrement amendée par la Chambre des pairs, est adoptée le 27 avril 1825 par la Chambre des députés, par 221 voix contre 130. En tenant compte du jeu des successions, quelque 70 000 ayants droit se partagent les 25 000 dossiers d’indemnisation retenus, percevant en moyenne 1 377 francs de rente pour un capital de 45 904 francs. Pour beaucoup, les montants reçus s’avérèrent très inférieurs, du fait de l’admission de certains gros bénéficiaires qui, à l’exemple du duc d’Orléans ou du marquis de La Fayette, touchèrent une somme supérieure à ce que valait un domaine, parfois lourdement hypothéqué, au moment de l’expropriation.

La Bourse emménage en son palais

Le palais Brongniart, inspiré en partie du temple de Vespasien à Rome.

Le 4 novembre 1826, Camille Léomant laisse en plan Charlotte, qu’il vient tout juste d’épouser, pour se rendre en toute hâte au palais Brongniart. C’est que, ce jour-là, le comte de Chabrol, préfet de la Seine, inaugure le bâtiment où vient de s’installer la Bourse. L’agent de change ne veut donc rien rater de la cérémonie qui met un terme au nomadisme des activités de marché, baladées jusque-là dans les lieux les plus divers au gré de décrets successifs.

Destiné à abriter la Bourse et le tribunal de commerce, le bâtiment a été voulu par Napoléon Ier, qui en a confié la réalisation à l’architecte Alphonse-Théodore Brongniart.

Après avoir pensé un temps l’installer à la Madeleine, c’est finalement l’ancien terrain du couvent des Filles-Saint-Thomas qui est retenu. L’endroit est stratégique, au carrefour des rues qui desservent le Palais-Royal, les Grands Boulevards, la Chaussée d’Antin et le cœur commercial parisien des rues Saint-Denis et Saint-Martin. L’hôtel des Messageries royales, où affluent de tous le pays diligences et malles-poste, se situe juste à l’arrière du futur bâtiment, rue Notre-Dame-des-Victoires.

Pour les plans, Brongniart s’inspire du temple de Vespasien à Rome, concevant un imposant périptère corinthien rectangulaire, construit tout en pierre, fer et cuivre, sans aucune pièce de bois. La première pierre est posée le 24 mars 1808 en grande pompe, mais les travaux ne peuvent démarrer que quelques semaines plus tard, le 6 mai, le temps d’expulser les locataires des 140 logements qui occupent les lieux.

Dix-neuf ans seront nécessaires pour mener le projet à son terme. Brongniart ne verra pas son « temple de l’argent » achevé puisqu’il meurt le 6 juin 1813 à l’âge de 74 ans. En dernier hommage, son convoi funèbre traverse le chantier avant de rejoindre le cimetière du Père-Lachaise, autre réalisation de l’architecte. C’est son confrère Éloi Labarre qui est chargé de poursuivre la construction. Il fait malheureusement subir au projet architectural et décoratif conçu par Brongniart quelques modifications qui alourdissent l’édifice et enlèvent beaucoup au parti pris de simplicité voulu par le défunt.

Achevé au bout de dix-neuf ans d’efforts, le palais de la Bourse a coûté près de 7,5 millions de francs. Il a pu être réalisé grâce à une imposition extraordinaire sur tous les commerçants de Paris, qui est venue compléter les sommes investies par l’État et

la Ville de Paris. Cette dernière récupérera d’ailleurs la propriété du bâtiment par la loi du 17 juin 1829.

L’édifice inauguré en 1826 allie des aménagements très modernes pour l’époque avec une décoration néoclassique. Au rez-de-chaussée, la salle des pas perdus ouvre sur une grande halle rectangulaire, au plafond richement décoré de seize peintures allégoriques en grisaille, surmontée en son centre d’une verrière qui surplombe un vaste plancher à peine surélevé et délimité par une barre, laquelle tient la foule à distance de la corbeille où s’affairent les agents de change. Entre la barre et la corbeille, l’espace est livré à l’incessant va-et-vient des gardes qui font passer les ordres entre les clients, les commis et les fondés de pouvoir amassés du côté extérieur de la barre et les agents de change réunis autour de la corbeille pour assurer les cotations.

Au premier étage se trouve un grand salon, à la voûte en arc de cercle recouverte de dix-neuf scènes allégoriques et aux murs décorés de bas-reliefs, d’abord dédié à la justice consulaire, qui accueillera ensuite les assemblées générales de la Compagnie des agents de change, une fois que le tribunal de commerce aura déménagé en 1865 pour rejoindre l’île de la Cité.

Bugeaud à la conquête de l’Algérie

le Phaéton fut l’un des navires qui relièrent la France (au départ de Toulon) à l’Algérie, où partirent de nombreux Français dès le milieu du XIXe siècle.

En partance pour l’Algérie, Camille Léomant, sa femme Charlotte et leurs enfants Jacques et Odile embarquent à Toulon sur le Phaéton, l’un des premiers navires à vapeur français. Celui-ci appareille le 19 février 1841 avec à son bord le général Bugeaud, qui vient d’être nommé gouverneur général de l’Algérie. Ce n’est pas la première fois que ce dernier se rend de l’autre côté de la Méditerranée. Engagé en 1804 à l’âge de 20 ans, Bugeaud a fait une carrière éclair dans les armées napoléoniennes avant d’être licencié par la seconde Restauration, puis rappelé de sa retraite périgourdine par Louis-Philippe, qui l’a fait maréchal de camp, grade correspondant à l’époque à celui de général de brigade. Après avoir réprimé l’insurrection républicaine de 1834 à Paris, il est envoyé en Algérie en 1836 pour mater la révolte d’Abd el-Kader, avec lequel il signe le traité de la Tafna. Partisan d’une conquête limitée, il ne va pas tarder à changer d’avis à la reprise des hostilités. C’est donc en adepte d’une conquête totale que Bugeaud débarque à Alger le 22 février 1841. Pendant près de sept ans, jusqu’à ce qu’il soit remplacé par le duc d’Aumale en septembre 1847, il ne laissera aucun répit à son adversaire, harcelant ses troupes, détruisant les récoltes et raflant le bétail au cours de sanglantes représailles. Bugeaud n’hésitera pas à poursuivre l’émir jusqu’au Maroc où celui-ci, traqué et abandonné

par de nombreuses tribus, s’est réfugié auprès de son beau-père, le sultan, qu’il entraîne dans la guerre.

L’armée française écrase les troupes marocaines le 14 août 1844 à la bataille de l’Isly,

forçant le sultan à fermer son pays à son gendre. Fait duc d’Isly après avoir été nommé maréchal, Bugeaud demandera cependant à être relevé de ses fonctions, faute d’avoir été suivi dans son projet de colonisation de l’Algérie par des soldats laboureurs, directement inspirés des légionnaires paysans de l’Empire romain.

Lorsque Camille et Charlotte Léomant arrivent à Blida début 1841, les colons européens installés en Algérie ne sont encore que 30 000. Ils seront plus de 110 000 fin 1847, dont un peu plus de la moitié de Français, suivis d’un tiers d’Espagnols, puis d’Italiens, de Maltais, d’Allemands et de Suisses. La plupart sont installés dans des villes. On ne dénombre que  seulement 15 000 colons ruraux, à l’exemple de Charlotte et de ses enfants, revenus cultiver les orangers sur leur propriété de Blida après le décès de Camille Léomant.

Port d'Alger

L’étoile de fer de Legrand


Pour le compte de Christian de Saint-Hubert, l’ingénieur Guintrand, personnage bien évidemment imaginaire, compte construire une ligne de chemin de fer transversale entre Tours et Orléans, pour la prolonger ensuite vers Brest à l’ouest et vers Strasbourg à l’est. Il prend ainsi le contrepied de son confrère, bien réel cette fois, Baptiste Legrand, directeur général des Ponts et Chaussés, qui a imaginé un réseau ferré en étoile à partir de Paris.

Présenté pour la première fois en 1838, c’est ce réseau en étoile qui sera retenu par les rédacteurs de la loi du 11 juin 1842 sur l’établissement des grandes lignes de chemin de fer. Après une longue période de tâtonnements, la France se décide à rattraper le retard qu’elle a accumulé par rapport à l’Angleterre, très novatrice en ce domaine. Quelques lignes ont bien été ouvertes à partir de 1823 sur des initiatives privées, principalement pour des usages industriels. Et en 1835, une première concession a été octroyée au banquier Émile Pereire pour l’exploitation d’une ligne de voyageurs entre Paris et Saint-Germain. Mais le projet de réseau en étoile ne fait pas vraiment l’unanimité auprès des parlementaires. Certains, comme Thiers ou Arago, dénoncent un projet inutile et coûteux, quand ils ne critiquent pas tout simplement le chemin de fer lui-même, l’accusant d’être néfaste pour la santé.

La grave catastrophe survenue le 8 mai 1842 sur la ligne de Saint-Germain, dans laquelle l’amiral Dumont d’Urville succombe, semble donner raison aux adversaires du chemin de fer. Mais il se trouve néanmoins une majorité de députés pour approuver un mois plus tard la loi établissant un premier schéma de réseau national de neuf lignes, dont sept partant de Paris. L’exploitation de ces lignes est confiée, via un système de concession à bail,

à des compagnies privées qui fournissent l’ensemble du matériel ferroviaire et en assurent l’entretien. L’État prend pour sa part en charge un tiers des dépenses générées par les indemnités d’expropriation et la construction des infrastructures, les deux autres tiers étant assurés par les départements et les communes concernés.

Christian de Saint-Hubert tient entre ses mains la carte du fameux réseau en étoile du chemin de fer qui sera finalement retenu.

Contre la majorité de la Chambre qui a soutenu le régime des concessions, Alphonse de Lamartine, parce qu’il est convaincu que le chemin de fer est un instrument essentiel de transformation économique, a milité pour une prise en charge totale par l’État. Il n’a cependant pas eu gain de cause. Mais la cascade de faillites qui suit la spéculation déclenchée par les profits générés par les premières compagnies lui permettra de dénoncer un peu plus tard une mesure enchaînant le pays « à la fortune et souvent au scandale des industries privées ».

Reste que les effets de la loi de 1842 furent bénéfiques à long terme. Le développement

du réseau ferré à marche forcée, qui passa de 590 kilomètres en 1840 à 1 850 kilomètres fin 1847, donna un véritable coup de fouet à l’industrie sidérurgique, à l’extraction minière et aux échanges commerciaux, en désenclavant de nombreuses régions. Surtout, cette loi permit la naissance de grandes compagnies ferroviaires, dans lesquelles les banquiers Rothschild ou Pereire eurent la subtile intuition de s’associer.

Le développement du chemin de fer en France permettra la construction d’ouvrages d’art.

Jean-Baptiste Teste, ministre corrompu


Pour contrecarrer les ambitions ferroviaires de sa sœur Charlotte, Christian de Saint-Hubert corrompt le ministre des Travaux publics. Ce portefeuille stratégique est alors occupé par Jean-Baptiste Teste, homme fort de la monarchie de Juillet, dont la brillante carrière politique se termina par un scandale retentissant.

Fils d’un avocat au parlement de Provence, Jean-Baptiste Teste est né le 20 octobre 1780

à Bagnoles-sur-Cèze, dans le Gard. Élu représentant de ce département le 7 mai 1815, il assure la direction de la police de Lyon durant les Cent Jours. Proscrit lors de la seconde Restauration, il se réfugie à Liège, où il reprend la profession d’avocat qu’il avait exercée à Nîmes, avant de rentrer à Paris à la faveur de la révolution de juillet 1830. Élu député du Gard le 7 juillet 1831, il se signale par son ardeur à défendre le nouveau régime. Après un bref passage au ministère du Commerce et des Travaux publics dans l’éphémère ministère Maret (du 10 au 18 novembre 1834), il est nommé ministre de la Justice et des Cultes dans le deuxième ministère du maréchal Soult (du 12 mai 1839 au 1er mars 1840).

Ce dernier, qui l’apprécie particulièrement, lui confie le portefeuille des Travaux publics dans son troisième ministère le 29 octobre 1840. C’est à ce titre qu’il fait voter la loi de 1842 sur les chemins de fer. Le 16 décembre 1843, François Guizot l’écarte de son poste, moyennant de somptueuses compensations, dont une nomination comme pair

de France et la présidence de la Cour de cassation.

Sa déchéance date de mai 1847, lorsque l’on apprend qu’il a touché un pot-de-vin de 94 000 francs pour favoriser le renouvellement d’une concession d’une mine de sel à Gouhenans, en Haute-Saône, au profit du général Amédée de Cubières, dit Despans-Cubières, héros de Waterloo et éphémère ministre de la Guerre en 1839 et 1840,

qui, pressé par des besoins d’argent, s’est lancé dans diverses spéculations.

Le scandale — qui contribuera à la chute de Louis-Philippe — donne lieu à un procès retentissant devant la Chambre des pairs, où Jean-Baptiste Teste nie avant d’être confondu par le témoignage de son agent de change qui a converti les fonds litigieux en bons du Trésor. Condamné le 17 juillet 1847 à une peine de trois ans d’emprisonnement après une tentative de suicide, il est incarcéré à la Conciergerie. Temporairement remis en liberté pendant les événements de la révolution de février 1848, il regagne sa cellule une fois l’ordre rétabli. Le 13 août 1849, le prince président Louis-Napoléon Bonaparte l’autorise à purger le reste de sa peine dans une maison de santé à Chaillot, dont il sort en juillet 1850, avant de décéder moins de deux ans plus tard, le 20 avril 1852.

Philippe Guillaume

Sources bibliographique

Le « Milliard des Émigrés » et la création de la rente 3 %, Christian Rietsch, in Le Marché financier français au xixe siècle, volume 2, Aspects quantitatifs des acteurs et des instruments à la Bourse de Paris,sous la direction de Georges Gallais-Hamonno, Publications de la Sorbonne, 2007.

La France de 1815 à 1848, 3e édition, Jean-Claude Caron, collection « Cursus Histoire »,Armand Colin, 2013.

La Révolution inachevée, 1815-1870,Sylvie Aprile, collection « Histoire de France », dir.Joël Cornette,Belin, 2010.

Le Palais Brongniart,catalogue édité par la Société des Bourses françaises (SBF-Bourse de Paris) sous la direction de Anne-Patricia Chantrefoux à l’occasion de la rénovation du premier étage du palais de la Bourse en juin 1995.

Histoire de la Bourse,
Paul Lagneau-Ymonet et Angelo Riva,
La Découverte, 2012.

Lire le premier chapitre du dossier historique de Philippe Guillaume

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