Sur un air de Fado

un bel équilibre graphique et scénaristique, embarquant le lecteur dans une période qu'on connaît peu ou mal en France et qui pourtant interroge personnellement sur nos choix quotidiens.

Sur un air de Fado est un album à la fois doux et triste, terrible et fascinant, en plus de raconter un vrai morceau d’histoire.

ce récit sophistiqué, aussi subtil et mélancolique qu'un air de fado

se rebeller ou pas dans le Portugal fasciste, telle est la question de cet insolent roman graphique

libéré de la dictature, le Portugal pourra enfin profiter de la lumière qui baigne les pages de cette bande dessinée où tous les personnages jouent juste pour porter des sentiments en demi-teintes

un récit émouvant, nuancé et d'un beau classicisme. Une réussite

un album nécessaire

Une bande dessinée à hauteur d'homme, subtile et engagée, imprégnée de mélancolie.

Barral capture ici, sans excès ni angélisme, toute la mélancolie de ces temps troublés, entre douceur de vivre et répression brutale.

album engagé

album ambitieux et très réussi

Nicolas Barral avec intelligence nous parle d'amour, de politique et de courage

Barral fait très fort

c’est une bd qui interroge nos convictions, nos rêves de jeunesse avec les lumières de Lisbonne si belle en dessin.

Nicolas Barral le fait avec finesse et empathie

Sa portée universelle et concerne tout le monde. C’est notre premier coup de coeur de l’année !

un très très bel album

Un roman graphique doux-amer, accessible et attachant. Comme un air de fado.

une histoire forte aux multiples personnages brillamment mis en scène d’un trait réaliste avec, en filigrane, cette question : « Comment vivre debout sous une dictature ?

Une magnifique réussite (...) Chaudement recommandé

TTT

ce coup d’essai s’inscrit dans la lignée des meilleures fictions historiques à hauteur d’homme, du type Les Phalanges de l’Ordre noir, de Christin et Bilal.

Nicolas Barral renoue joliment avec l’âge d’or de la BD politique

La puissance de ce premier roman graphique de Nicolas Barral tient dans les vides et les absences. La dictature de Salazar est tapie dans l'ombre.

Nicolas Barral (...), sa narration intimiste rend le récit d’autant plus fort qu’il ne cherche pas à démontrer, mais à raconter.