Blacksad - Tome 6

À la fois description de la cité de verre, hommage au roman noir et chronique sociale, Alors tout tombe vaut pour son scénario efficace, son graphisme impeccable, ses couleurs chatoyantes.

On attendait la suite avec gourmandise : c'est un régal !

Blacksad est comme un dessin animé de Walt Disney pour adultes

Les espagnols Juanjo Guarnido et Juan Diaz Canales retrouvent New York et la noirceur qui fait le sel de la série. Comme dans les meilleurs romans de Dashiel Hammet, les hommes politiques sont corrompus, les entrepreneurs véreux, les mafieux violents, le héros fatigué.

Les fans du monde entier peuvent se réjouir : le plus félin des privés est en pleine forme

Du grand art

Fort d'un scénario substantiel et exaltant, le duo d'auteurs hispaniques réalise ce vœu, inscrivant ce premier épisode dans la droite lignée de leurs précédents ouvrages. Une œuvre devenue formidable et totalement indispensable.

Le graphisme de Guarnido est toujours aussi époustouflant avec des couleurs chatoyantes, un sens du cadrage et un rythme trépidant qui donnent vie à ces personnages zoomorphes. Le scénario de Canales, quant à lui, mêle habilement critique sociale et hommage au roman noir à l’ancienne, jusqu’à une « chute » qui nous donne déjà envie de connaître la suite… Du grand Blacksad.

Pas de déception : la série reste toujours aussi forte en couleurs, avec un graphisme ultra-dynamique et des angles de vue époustouflants.

Immanquable

retour magnifique !

Blacksad est devenu un mythe

Splendide

Une efficacité rare. De la belle oeuvre.

ce nouveau « Blacksad » est un très grand album qui se déguste avec délectation tant pour la qualité du scénario, que pourcelle du dessin et des couleurs.

Blackasd se situe ainsi à la confluence du roman noir américain sous sa forme la plus pure(Raymond Chandler, William Irish) et de la bande dessinée policière sous influence sud-américaine (Alack Sinner de Carlos Sampayo et Jose Munoz)