Marion Montaigne au pays des dinos

Six ans après Dans la combi de Thomas Pesquet, Marion Montaigne revient avec son album le plus personnel.

Par l'équipe Dargaud

Nos Mondes Perdus

Table des matières

De l’extinction des dinosaures à celle des humains, le grand retour de Marion Montaigne avec un livre fascinant sur l’Histoire des Sciences !

1993, sortie en salles de Jurassic Park et traumatisme total pour la jeune Marion Montaigne, alors âgée de 13 ans.

De cette fascination pour ces terribles reptiles d'un âge oublié va naître une obsession pour les fossiles, la science en général et le dessin anatomique... ainsi que quelques angoisses existentielles.

Alors pour exorciser ses démons, rien de tel que la méthode Montaigne : recherches à fond dans les livres et les musées, humour décapant et interrogations bien senties. Une plongée dans la paléontologie, l'histoire des Sciences et finalement, l'histoire de l'Histoire.

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Qui a inventé le mot Dinosaure ?

Comment, à partir de fossiles, l’humanité a-t-elle deviné que la Terre avait été autrefois habitée par d’impressionnantes espèces désormais disparues ? Avec Nos mondes perdus, Marion Montaigne répond à ces questions qui l’obsèdent depuis qu’elle a été bouleversée par Jurassic Park.

Nos mondes perdus de Marion Montaigne

Elle raconte comment des savants français (Buffon, Georges Cuvier) et surtout britanniques (l’excentrique William Buckland ou Richard Owen) ont posé les bases de la paléontologie, la science des fossiles, quitte à écraser de leur ego la concurrence - surtout quand elle était féminine.

Par la même occasion, la dessinatrice revient pour la première fois sur sa propre vocation scientifique contrariée…

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La Méthode Montaigne

Avec Nos Mondes perdus, on retrouve la marque de fabrique de Marion Montaigne, cette facilité à nous emporter vers sa passion, la science, grâce à une narration propulsée par des gags et des clins d’œil à la pop culture.

Nos mondes perdus de Marion Montaigne

Alors que les dinosaures occupent depuis longtemps une place de choix dans notre imaginaire, la dessinatrice remet à plat les connaissances en la matière, reconstituant comment, de trouvailles en tâtonnements, la science, parfois aidée par l’art, a brossé le portrait-robot de ces espèces éteintes.

Ce récit, passionnant et drôle, surprend par sa teinte autobiographique. Car si Marion Montaigne se consacre ici à la paléontologie et aux fossiles, c’est avant tout parce qu’elle s’interroge sur la trace que laissera l’humanité.

Angoissée par les perspectives de fin du monde, elle se tourne vers la science pour se rassurer, une démarche qui a toujours été la sienne.

Comme souvent chez cette spécialiste de la vulgarisation scientifique en BD, les questionnements profonds ne seront assouvis que par des recherches pointues, sérieuses, obsédantes. C’est parti pour une leçon condensée de biologie, de géologie, de paléontologie et d’histoire de l’art (de dessiner les lézards). Avec autant de rigueur que d’humour et d’autodérision.

Livres hebdo

D’ailleurs, plus jeune, elle rêvait d’une carrière scientifique mais, comme elle le révèle ici, ses parents ont préféré qu’elle choisisse un autre métier. Cette dimension intime donne à Nos mondes perdus une profondeur qui en fait le livre le plus personnel de son autrice.

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En librairie

En attendant de retrouver en librairie Nos Mondes perdus de Marion Montaigne, découvrez les premières pages :

 

Bonne lecture !

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